Notre titre 1 correspondant directement à un lien (vers la 30ème fête de la science, du premier au 11 octobre), on en vient à notre deuxième info deuxième volet. C'est à dire à la mise en place d'une nouvelle commission sur le complotisme, jugée plus que nécessaire pour tenter (enfin et à défaut de prévention, si l'on ose dire) de faire barrage à la diffusion de toute fausse information, croyance, soupçon visant à déstabiliser et fragiliser certaines cibles (en particulier en période pré-électorale). L'expérience pandémique encore en cours n'est pas mentionnée dans cet article du "Monde", mais il faut croire qu'elle y est aussi, un peu, pour quelque chose. Sociologues, anthropologues et autres experts sont donc aujourd'hui appelés à faire face à ces ingérences externes comme très internes, supportées et amplifiées par les réseaux sociaux (faudrait-il dire "certains réseaux sociaux", avec leurs algorithmes particuliers ?). Dans tous les cas, voilà une info et un contexte certes non ignorés, mais qui font toujours "un certain effet", si on ne veut pas se laisser absorber par l'indifférence ou le fatalisme (car en principe, même quand "on n'y peut rien", on peut peut-être encore (ou devrait...), au moins, s'intéresser à ce monde blessé, et contraint de réagir de manière concertée avec les "armes" de la raison.
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"Envoyé spécial" du 30 septembre fait entendre "la voix des femmes ouïghours. Au delà du verdict officiellement attendu (procès - encore sous forme symbolique... - visant à reconnaître le génocide de cette ethnie asiatique islamique), c'est l'infinie souffrance endurée - débouchant volontiers en pure folie (!!) - que l'on retient immédiatament, et non sans douleur, à l'écoute de ces témoignages detaillés de femmes totalament anéanties et aux organes littéralement détruits. Au pays du soleil levant (dont on se gardera, bien sûr, de stigmatiser l'ensemble de la population... mais, par ailleurs, comment ignorer l'inacceptable ?), les pires violences et tortures (stérilisations comprises, et dans quelles conditions...) ont d'abord été niées, puis "maquillées" (cf. dernier lien). Le terrorisme islamique et ses obscures, terribles attaques, comme indiqué sur France 2, deviennent le prétexte pour "frapper fort" (d'abord au premier degré) et détruire à jamais la vie de ces pauvres innocents, qui parviennent parfois à s'exiler. Selon voix off en conclusion, l'une des victimes confie attendre seulement... la création occidentale, symbole du progrès véritable, d'une "machine à faire perdre la mémoire", capable d'effacer définitivement de son esprit sévices et humiliations, pour tenter de se reconstruire un peu... Avec l'idée de pouvoir, d'abord, arrêter cet enfer dans la realité, pour tous ceux qui n'ont pas pu fuir et auxquels va la pensée des réfugiés. L'identification d'un génocide, visant par tous les moyens à faire disparaître cette minorité, amènerait à une vraie remise en question de nombre de rapports commerciaux avec la Chine. À propos de cette politique d'internement, de ses pratiques et des réactions qu'elles suscitent, voir aussi le "Parisien".
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Dans tout autre registre - et en gardant peut-être pour plus tard d'autres infos classiques, donc tragiques (!), "absorbées" ces jours-ci... - nous avons enfin regardé "Danse avec les stars" sur TF1, en écho à notre précédente nouvelle sur son pendant italien "Ballando con le stelle". La pub n'a pas manqué pour pouvoir retrouver sur Raiuno le brillantissime varietà (divertissement) "Tale e Quale Show" (focus à découvrir, se volete et si ce n'est déjà fait, à partir de notre lien précédent).
Mais revenons à la danse étoilée et grand public, en mode "FR.". Nous devrions sans doute suivre davantage de soirées, voire éditions (!), mais... nous avons surtout vu évoluer Michou et Elsa qui, effectivement, « déchirent » tout en bonheur et souplesse, suivis de Wejdene et Samuel Texier : un concentré de grâce, aisance et sourire (faux cils bien voyants à part, mais au fond, quelle importance ici ?...). Présentation, jury, style simple et enthousiaste aidant, pour cette émission nous attribuons déjà... le score de 1 pour l'Italie et 3 (ou même 4...) pour la France. Viste le nostre molte adesioni a programmi tivù "IT.", i nostri amici italiani non si offenderanno, sicuramente...
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Soirée télé du 2 octobre (2021)... Nous avons assisté au méga concert à l'Arena de Vérona (annoncé dans nos infos flash), grâce à la serata speciale de Raiuno (en général, vous le savez, nous ne tenons pas spécialement aux méga concerts, mais il faut bien faire des exceptions !). Grande Amadeus come sempre, nella sua elegantissima giacca costellata di note e chiave di sol... E felici di assistere alle performance di immensi artisti quali Tony Hadley e Gazebo in sintonia assoluta con un pubblico di ogni età. E lietissimi di ritrovare (ad esempio!) i nostri Roberto Vecchioni (info link...), Sabrina Salerno (vous connaissez ?!...), Fausto Leali (stra-or-di-na-rio!) e Gianna Nannini (già ben presente nelle nostre pagine). Entre autres chansons au programme, nous partageons ici avec vous, se volete, "La bambola" (lien 1968) de Patty Pravo (version française, et version "FR." de Dalida) à connaître, comprendre (le donne non si buttano come bambole!) et si possible adopter...
Au moment même où nous écrivons ces lignes, voici au piano le monument de la chanson italienne Peppino Di Capri (wiki-photo de nouveau non représentative...), à retrouver dans nos "Extras", et qui a brillamment amené le twist dans la Botte en 1962... Bref, siamo fortunati... d'autant plus qu'Amadeus a également pu anticiper une belle initiative pour son prochain Festival de Sanremo, à découvrir prochainement dans notre rubriqué dédiée... (et, un peu comme lui, nous avons aussi joué les anticipations, sur nos "Canzoni & Chansons"... mais vous connaissez déjà cette tendance "C. & S.", inévitable en matière de musique !).
Toute cette poésie musicale, au charme si particulier en ce moment fait de "visages aussi masqués qu'émus", et d'applaudissements enthousiastes, ne nous a pas empêché... de suivre aussi France 5, pour partir plus loin, et découvrir Casamance, au Sénégal. Une "échappée belle" bien difficile à synthétiser, car tout était extrêmement intéressant. Et le véritable, parfait esprit de rencontre de Ismaël Khelifa, animateur et écrivain, était palpable. On le savait bien, et cette émission prend le temps de le confirmer : la population sénégalaise est absolument touchante et attachante. Citons seulement Fama, assistante sociale si exemplaire en termes de dévouement... Et ajoutons le replay France 5 pour ceux qui n'auraient pas vu l'émission, et voudraient se laisser guider avec intelligence et ouverture d'esprit.
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Dans l'attente de la suite, qui risque de tarder un peu au vu de nos "coulisses" parfumées (aussi) à la sauce napolitaine (selon indice du grand menu), on vous quitte sur cette fenêtre infos "TV5MONDE", fraîchement trouvée et basée d'abord sur la capacité à distinguer l'info de l'intox... Nous l'étudierons "avec vous" (!), en "piochant" ce qui nous intéresse (car tout est intéressant... mais l'on pourra y revenir), et ce qui inspirera probablement d'autres élargissements pour l'une de nos prochaines infos.
...Cela n'a aucun rapport avec ce que nous venons d'indiquer mais, au vu de la "double info" précédente et puisque cela vient de se terminer (à l'heure où l'on écrit), laissez-nous dire : rima a parte, perfetta questa seratona all'Arena di Verona, "già" finita... e vissuta, come ben sottolineato sul palco e "chissà perché", con uno spirito anni '60...
PARMI NOS DERNIÈRES "INFOS FLASH"...
- À (re)voir absolument : "Colonisation, une histoire française" (en replay TV ou sur la page web correspondante, jusqu'au 3 décembre sur inscription). Descriptif complet.
- Après la colonisation "classique", focus sur le colonialisme vert : un néocolonialisme apparu au nom de la nature (!), expliqué par Guillaume Blanc. Lien pour son ouvrage correspondant, Prix lycéen du livre d'histoire 2021.
- ...Grâce à son œuvre et à son regard aigu sur les effets du colonialisme et le sort des réfugiés, le prix Nobel de la Littérature a été attribué au romancier tanzanien Abdulrazak Gurnah.
- Ces "clowns" qui font peur...