En bref - In breve (24)

Hélas : une nouvelle bien plus tristement traditionnelle, pour une tragédie qui vient de se dérouler (ce 3 mars 2021) en Grèce (comme si le pays berceau de notre civilisation n'avait pas assez de "soucis"...). Une secousse de forte amplitude - magnitude 6,3 de l'échelle de Richter - a frappé surtout le nord de la ville d'Athènes, bien que l'épicentre se situe à 360 km au nord de la capitale. On n'a pas encore établi si la secousse, ressentie également en Macédoine du Nord, Kosovo et Montenegro, constitue le tremblement de terre principal, dans une zone dite à très haut risque sismique. À l'heure actuelle, une personne serait restée prisonnière des décombres. Voici l'article Rainews par lequel nous en avons pris connaissance.

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Le président de la république italienne Sergio Mattarella a été à son tour vacciné ; avec le vaccin Moderna, au Spallanzani de Rome, où les vaccinations pour les personnes en 1941 et précédentes est en cours. Auguriamo altri cento anni ad un presidente speciale.

Un mot sur le nombre de décès dans la Botte : on a atteint les 100 000 morts. Une donnée aussi impressionnante que crédible ("pays cible" n°1 près la Chine) mais qui, pour une série de raisons expliquées par le TG3, ne peut être comparé ni rapproché à celui d'autres pays... Le mode de comptage est différent, entre autres (ou surtout) parce que certains pays allègent leurs statistiques en statuant "au tout dernier moment" ou en ne comptabilisant pas les personnes décédées à la maison... Encore une fois, la pandémie confirme "la guerre des chiffres". Et, même sans employer le terme "guerre", déplorons ces autres inégalités, empêchant une vision plus vraie, sans artifices, ainsi qu'une "saine" comparaison. Depuis longtemps, dans bien des cas et à a cause du manque d'harmonisation, les chiffres ne font plus sens dans une optique collective. C'est alors la conscience générale d'une situation sanitaire mondiale des plus tragiques qui devrait prendre le dessus... 

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Vivement Michel Drucker ! Tandis que, côté italien, "Domenica in", émission aux tonalités diverses et variées, fait partie des émissions chaleureuses et incontournables du dimanche vert blanc rouge (en cette longue période surtout), l'Hexagone attendait encore le retour de son animateur bien aimé pour une fin de week-end sous le signe de la convivialité et de l'échange... Et sans doute pour mieux renouer, "déjà", avec la période antépandémique. Après "Le Parisien", "20 minutes" prend note des [bonnes] nouvelles suite au triple pontage de Michel Drucker, et annonce que notre animateur bas-normand sera bien à l'antenne le 28 mars pour un "Vivement dimanche" spécial. Un rendez-vous qui sera dédié aux humoristes ayant permis de faire tourner les "best of" depuis des mois... Nous y serons, et vous ?
À noter également : son livre, à paraître fin avril à propos de ses six mois de souffrances : "Ç a ira mieux demain".

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Meghan et Harry. Malgré critiques et réticences, leur fabuleux mariage a pu se dérouler de manière aussi anticonformiste que progressiste par bien des aspects : une bouffée d'oxygène face à étiquette et tradition. Mais il s'agissait d'un mariage, avec tout ce que cela implique et représente à tout niveau. Un matrimonio è un matrimonio e, quello, poteva anche essere diverso. Depuis, on ne pouvait deviner de si profondes jalousies et "hostilités" dans les coulisses, ni cette envie d'en finir... qui n'est pas sans rappeler d'autres tragiques épisodes et épilogues. Ici, William prioritairement écarté, on peut se demander quel rôle a joué exactement, la célébrissime reine et grand-mère, "colonel en chef" et point de repère pour Harry. En particulier depuis qu'en février, le duc et la duchesse de Sussex, aujourd'hui en retrait définitif de la famille royale, ont perdu leurs derniers titres officiels.
On s'indigne tout en pensant au(x) sens du mot noblesse, et à la justesse de nos contes traditionnels, qui malgré tout se terminent bien... Pour une autre réalité, de toute condition ou origine que l'on soit, l'on ne s'arrêtera pas à ces dynamiques (non exclusives !), et l'on comptera (aussi) sur un "juste retour". Chi la fa l'aspetti...

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Et, en parlant de haine (et de folie), vers quel "Monde" allons-nous ?!...
 

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Ne nous arrêtons pas, ici, sur d'autres violences, comme celles des banlieues (qui, par ailleurs, méritent toute notre attention et ne sont pas indépendentes des autres types d'exactions). Revenons à notre vie normale... Pourra-t-on "bientôt" retrouver nos restaurants, brasseries et autres ? CNews fait le point (provisoire bien qu'assez défini) en mentionnant des essais liés aussi à l'idée d'identification par Flash Code, sauf exceptions... Vivement une socialisation et un partage retrouvés  (en sus de la reprise économique). À la bonne distance mais sans (trop de) stress, dehors et soleil aidant ! Le problème, c'est que nous sommes très nombreux à souhaiter ce retour, n'est-ce pas ? Una "bella" scommessa: ancora un po' di pazienza, e altrettanta prudenza!
 

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Vivement aussi les petites ou grandes terrasses au soleil, donc ! Et, dans cette attente, le bon vieux sandwich étudiant (ou style étudiant), dégusté en plein air et par temps correct, reste une très bonne option (à pratiquer avec attention, rime oblige).
Ceci dit, il y a aussi ceux qui préfèrent à une terrasse au soleil... "un balcon sur la mer", façon maison grâce à France 3. Le soir du 11 mars, vous avez peut-être eu l'occasion, comme nous, de (re)voir ce drame de 2010 de Nicole Garcia. Avec Jean Dujardin, Marie-Josée Croze (photos) et, entre autres protagonistes, Claudia Cardinale et Toni Servillo (acteur de premier plan et aux rôles intenses dans la Botte, cf. "La grande bellezza"). Qu'il est sain de s'émouvoir et réfléchir face à ces "adultes-enfants" de deux pays, à l'identité déchirée par l'Histoire et par leurs souvenirs. Un homme et une femme qui, non sans mystères et difficultés, parviennent à se reconnaître et se retrouver pour mieux recommencer, selon ce que suggère la dernière scène ou "retour aux sources". Soulignons une mise en scène d'ensemble aussi étudiée que délicate (en contraste avec des avis parfois étonnamment durs, ici en provenance de "Télé Magazine", selon lequel ce sixième long métrage d'une metteuse en scène reconnue - le féminin existe - « ne tient pas ses promesses »...).
 

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