[Liens "IT."] - Le résident et chanteur Mahmood, ainsi que son collègue Morgan, sont eux aussi sani e salvi... Destruction de logements (et de biens) à part (!!!), ainsi qu'un petit chien ayant succombé (!!!), aucune victime n'est à déplorer, en partie "par miracle", sans doute, et bien sûr grâce à l'intervention musclée et organisée des vigili del fuoco ; mais aussi grâce aux gestes de certains habitants : des personnes s'étant naturellement inquiétées, dans leur fuite, de frapper à tous les appartements... Nous faisons bien référence à l'incendie du 29 août, concernant la Torre dei Moro, gratte-ciel de vingt étages de la rue Antonini à Mian. Incendie surprenant... dont les causes véritables restent à déterminer. Soixante-dix familles ont été prises de court par un feu aussi puissant que tragiquement spectaculaire, même à des kilomètres de distance (ciel marqué par une épaisse fumée noire "XXL"). La tour ressemblait à « un mouchoir imbibé d'alcool »... Per tutti, angoscia e choc, ma anche... due gattini tratti in salvo (e molto disidratati). Après une interminable journée, les pompiers ont pu sauver deux chatons, fort déshydratés mais entre de bonnes mains (vous pouvez cliquer sur la photo)...
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L'OMS se dit « gravement inquiète » pour la « stagnation » de la vaccination en Europe... 2290 patients en réanimation ont été recensés en 24 h. Le pass sanitaire devient obligatoire pour tout salarié en contact avec le public (CNews, 30.08) et, grâce à plusieurs dispositions, la vaccination proprement dite devrait s'accélérer, en particulier chez ces jeunes prenant toute la mesure de nos circonstances exceptionnelles.
À partir d'un exemple français et en indiquant certaines constantes avec nos sociétés occidentales, libérales et démocratiques, ce récent billet, publié sur le site d'actualité "Altritaliani", expose les différences entre liberté individuelle et démocratie, en partant du sujet vaccins. La liberté individuelle ne saurait prévaloir sur le droit à la santé et à la vie du plus grand nombre...
«Lasciare ai cittadini la scelta di vaccinarsi o meno è un modo alla Pilato di lavarsi le mani dalle proprie responsabilità politiche». Concretamente, poi, che dire, ingressi secondari con "libero accesso" a parte, della possibilità di fatto, concessa ai ristoratori, di non sottoporre i loro clienti ad alcun "green-controllo" - tramite un pass che, ricordiamolo, nemmeno impone la vaccinazione completa - lasciandoli alle loro singole responsabilità... per "ovvi" motivi economici?! L'OMS ha "forse" qualche ragione di preoccuparsi di questa "non politica" (o di quel che gravemente sfugge alle nostre politiche), mentre molti si interrogano sulla conseguente vanificazione (anche solo parziale) delle misure adottate, cercando comunque di farsi coraggio ed andare avanti, per un'esistenza da vivere se possibile (anche) con gli altri, oltre le mura di casa. Come già stava di nuovo avvenendo. Specie nei luoghi di vacanza, per tanti la scommessa sarà proprio quella di non prendere esempio, anche inconsciamente, da chi ne ha solo abbastanza di tutto questo (o ne ha sempre avuto violentemente abbastanza!) e con ogni conseguenza preferisce respingere qualsiasi misura, proprio in questo "momento"...
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Serena Rossi, marraine de Venise '78
À nos pages sur Venezia '77 ("Carnets") fait suite, cette année, une autre manière de s'intéresser à la Mostra de Venise en cours, du 1er au 11 septembre 2021... Cette fois, toujours par rapport à "Altritaliani" et avant d'éventuels autres compléments de notre part, "C. & S." renvoie à la présentation, en langue "IT.", d'Andrea Curcione, qui signe également une deuxième parution sur le sujet, découverte à l'instant... Surtout si vous connaissez déjà certains metteurs en scène transalpins, vous pourrez facilement deviner (et apprécier en amont) la qualité thématique et esthétique des œuvres péninsulaires, candidates ou même hors compétition. Nos repérages en "FR.", si vous voulez bien : après lecture attentive, nous avons surtout envie de citer (et de voir) "Il bambino nascosto", du metteur en scène, écrivain et scénariste palermitain Roberto Andò... aux prises, dans un cadre napolitain, avec la notion de renaissance (avec art, douceur et accompagnement du jeune protagoniste). Dans le rôle de l'empathique et bienveillant professeur de musique (après distance initiale), il y a Silvio Orlando - acteur fétiche de Nanni Moretti -, parfait dans une comédie comme dans une tragédie.
Côté documentaires, c'est surtout "Viaggio nel crepuscolo" d'Augusto Contento, reflet de l'Italie présente et passée, et intégrant des extraits filmiques appartenant à un grand comme Marco Bellocchio, qui a attiré notre attention... On prend note aussi de la tragédie historique “La macchina delle immagini di Alfredo C.” de Roland Sejko. Le film d'ouverture, “Welcome Venice” d'Andrea Segre, sur les effets du tourisme à Venise, sur fond de pandémie ("associée" au tournage), est à voir également... À suivre par ailleurs : "Spin Time", film documentaire d'une femme (imitatrice politique) éprise de vérité et au style certain, comme Sabina Guzzanti. Concernant à 100% notre crise sanitaire, retenons les deux premières proiezioni speciali : la "métaréalisation" d'Andrea Segre et le documentaire de l'animatrice télé Simona Ventura, sur "Les 7 journées de Bergame"... Comme dans toute manifestation d'envergure, où l'éventail des œuvres nationales et internationales n'est pas des moindres, tout ne se vaut pas (il faut bien l'admettre, surprenantes attributions de Lions, d'Ours ou de Palmes comprises...) ; mais prendre le temps de découvrir histoires, sens et ambiances d'un film, avant déception (...cela arrive !) ou avant pleine appréciation en salle, est un "jeu" qui vaut la chandelle, comme toute expérience culturelle (..."Escape games" exclus, please : si on peut comprendre ces joueurs aimant "parfois" se faire peur, selon nous ce type d'aventure - de cinéma, pour rester dans le sujet - n'a pas grand chose à voir avec l'esprit d'une bibliothèque ou d'un Opéra... Mais il n'est pas rare de vouloir rajeunir une structure, quitte à la dénaturer quelque peu...).
Parenthèse à part, on découvrira avec le même plaisir les autres créations de tout horizon, en retenant déjà l'espace spécialement consacré au cinéma afghan et au rude contexte actuel. Les mesures anti-Covid ne manqueront pas ; crise et variantes que la Rai et la ville romantique par excellence tentent de "faire un peu oublier" (entre guillemets et mentalement, pour "l'instant"...), avec un spot d'animation spécial. Buon "viaggio" a Venezia, e buona Mostra del cinema « pour l'éternité », Covid à part !...
À la suite de ces lignes, reprises telles quelles avant disparition du "grand menu" (temps "allégés" Culture & Santé), ajoutons, rime à part... le ciné-panorama offert par "Télérama". Présentation qui nous donne envie d'en savoir plus sur le film de Stéphane Brizé intitulé "Un autre monde". Le synopsis révèle que le réalisateur, scénariste et acteur français, qui fait toujours appel au talent de Vincent Lindon, s'intéresse encore à la pression du monde de travail, en focalisant ici sur ses lourdes conséquences sur notre vie privée... (Nous nous étions intéressés à son drame social "En guerre", pour nos "Livres & Films").
Enfin, une bande-annonce, celle de "Qui rido io" (traduisible par "Cette fois, c'est à moi d'en rire") de Mario Martone (qui a ébloui le public avec, entre autres, "Il giovane favoloso", portrait qui ne s'oublie pas dédié au grand poète Giacomo Leopardi, incarné par Elio Germano). Le film présenté à la Mostra '78 a un fond napolitain et théâtral, au premier sens du terme. Grandeurs et misères du célèbre acteur comique Eduardo Scarpetta sont à l'honneur, comme celles de sa nombreuse descendance (quels acteurs nés et de talent !). On assiste en particulier au premier procès sur le droit d'auteur en Italie, car Scarpetta avait osé parodier une tragédie d'un certain Gabriele D'Annunzio (!...). "Grand poète", considéré même par beaucoup comme le plus grand de son temps, et qui de fait, comme on le sait... on y reviendra peut-être.
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Applaudir des hologrammes et faire revivre sous les étoiles des tubes qui nous accompagnent depuis toujours ou, si vous préférez, des succès planétaires plus fédérateurs que jamais... Wonderful. Et leur album de rentrée ? On veut tout savoir sur le grand retour du groupe suédois Abba !
(Avant la prochaine info, on réécouterait bien... notre morceau préféré, par exemple !).
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Pour épouser sa passion, le danseur et chorégraphe américain Jerome Robbins a dû renoncer à une carrière commerciale... Tant mieux car, comme vous peut-être, nous nous sommes régalés sur France 5 (accès sur inscription) face à cet "inédit et savant mélange de danse classique et moderne", pour le dire humblement, avec nos mots... avant d'essayer d'en savoir un peu plus (car nous avons tous nos horribles lacunes !!) en cliquant par exemple sur cet extrait d'"Entrée libre" consacré à Robbins et au charme poétique, moderne et atemporel de pas et de figures qui, à notre sens - baisse de volume à l'appui... - se passeraient bien de (cette ?!) musique pour être appréciés encore davantage... Un peu comme un film muet qui laisse sans voix... en garantissant le sourire.
...Votre "plus" vidéo, en un peu plus de trois minutes : musique by Frédéric Chopin, chorégraphie by Jerome Robbins, of course. Nous sommes ici plus proches de la danse classique... en apparence. Faites le plein de grâce, dynamisme, poésie et ironie ;)
À propos... cf. notre souvenir de l'étoile de la danse classique, et reine du ballet italien Carla Fracci.