Rappel Flash Infos, fin février 2022
Premières attaques russes - premières réactions officielles.
Une touriste ukrainienne manifeste au Sri Lanka contre l'attaque russe ("Paris Match").
Clic pour retrouver notre premier lien au sujet de "la patience diplomatique d'Emmanuel Macron"...
Lien "IT." à propos des sanctions.
Lien 3 : les russes disent non...
Lien 4 : article lu sur "Le Temps".
Précisons...
Mario Draghi : président du Conseil des Ministres d'Italie (naturellement), économiste, professeur des universités, banquier (et humaniste).
Luigi Di Maio : ministre italien des Affaires étragères, appartenant au mouvement 5 étoiles, qui fait bien parler de lui, parfois de manière très contradictoire. Mais contre cette guerre, Di Maio s'est montré lui aussi très ferme.
Enrico Letta : ex-président du Conseil, parlementaire "IT." et europarlementaire de 2004 à 2006, secrétaire du parti démocrate depuis mars 2021.
Citons l'article 11 de la Constitution italienne, particulièrement incisif, qui exerce encore toute son influence contre toute guerre ou intervention miliataire :
«L'Italia ripudia la guerra come strumento di offesa alla libertà degli altri popoli e come mezzo di risoluzione delle controversie internazionali».
Autrement dit... RIPUDIO DELLA GUERRA E PRINCIPIO PACIFISTA
La norma implica che il nostro Paese condanna moralmente, politicamente e giuridicamente l'utilizzo della violenza armata come strumento di offesa, ossia come mezzo per la risoluzione dei conflitti fra i popoli.
Bien sûr, cela est tout aussi vrai pour la France et pour une Europe, comme déjà souligné, bâtie sur la paix (fondée sur une interdépendance économique surtout...), suite aux lourdes conséquences de deux guerres mondiales... En Italie, l'article 11 est souvent rappelé, surtout aux jeunes générations, et la rédaction de l'actuelle Constitution a un sens historique et moral tout particulier dans la péninsule (nous tâcherons d'y revenir).
Cf. "Vidéos & Articles" sur le sujet (Grand Menu) = lien changeant puis permanent, en lien avec cette page infos.
Deuxième journée de guerre en Ukraine :
escalade de sanctions et combats autour de Kiev ("Le Monde").
On s'aperçoit que, d'emblée, Kiev n'est pas "la seule" et unique cible...
"No Comment"...